À Bali, la musique rythme la plupart des rituels et les habitants se plaisent à prendre leurs instruments pour marquer un évènement de leur vie : joie, peine, que ce soit pour une crémation ou pour célébrer un heureux évènement, ils le feront en musique et en danse.
À Ubud, chaque soir, une représentation de danse Legong est présentée dans un temple à ciel ouvert. Bien que très touristique, il est bon d’y mettre au moins une fois les pieds pour écouter le son régulier de leur « Gamelan » (leur orchestre à eux). Il s’agit de différentes sortes de percussions : gongs, métallophones, xylophones qui déversent leur son routinier ponctué par le son grave d’un tambour de-ci de-là. Bom Bom Bom… (oui j’aime bien le tambour :) ).
Je dois dire que pour un européen, ce n’est pas la plus jolie musique du monde mais ça a un certain charme. C’est surtout le respect qui se dégage de la cérémonie et la rigueur des musiciens qui nous impose de ne plus bouger et tout simplement d’écouter et de s’en imprégner…
Imaginez-vous assis en tailleur, la pénombre vous entourant, devant vous le Gamelan s’active englobé par des petites loupiotes pour éclairer leur instrument… On a volé un petit bout de leur danse legong.. chuuuut
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